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Breaking news: attentat à Bera à l'occasion de l'inauguration du Pipi bowl.
Pour les retardataires, les fréres de luttes basques ont commencé le bowl l'année dernière , clandestinement. On est passé leurs donner 2-3 coups de main, vite fait bien fait, pour préparer la cache d'armes. Maintenant, place au grand jour: explosion de bouteilles de gaz à la face des vendus.
Les lieux étaient plastiqués depuis la veille, tout ce que la vallée compte de mullets à boucles d'oreilles et de consanguins s'étaient donnés rendez-vous dans ce village isolé, sans eau ni électricité....mais avec de la bière et du Rock!
ETA n'a pas encore rendu les armes, pour preuve: 2 membres éminents de l'organisation clandestine s'étaient déguisés en vulgaires Gabachos (allant même jusqu'à porter les noms ridicules de "Gardon" et "Francis") afin de préparer, en toute discrétion, une attaque suicide au méchoui sauce Napalm et bombardement au gaz sarin haricots blancs. Nous avons eu droit à un festival de chairs calcinées, de petits corps démembrés, de flaques de xipister jonchant partout le sol... Un spectale de toute beauté. Les membres de l'organisation terroriste disparurent avant l'arrivée des premiers secours pour laisser place à de la musique festive... basque. Les crocs-maïs, venus en voisins, s'illustrèrent en dansant le pogo, une danse nuptiale propre à cette misérable peuplade du nord de la Bidassoa.
La joyeuse boucherie pris fin au petit matin quand la brume se dissipa, laissant apparaitre, ça et là, des cadavres de bières et d'hommes inertes abandonnés aux vautours.
Hasta la victoria siempre !
Les première images des caméras de surveillance nous montrent des images apocalyptiques:
(toutes ressemblances avec les évenements de Nice ou Manchester est totalement fortuite et indépendante de notre bonne volonté)
Les lieux où fut perpétré ce crime sans nom
L'armement des lâches terroristes
La diversion:
Body count:
Pour les retardataires, les fréres de luttes basques ont commencé le bowl l'année dernière , clandestinement. On est passé leurs donner 2-3 coups de main, vite fait bien fait, pour préparer la cache d'armes. Maintenant, place au grand jour: explosion de bouteilles de gaz à la face des vendus.
Les lieux étaient plastiqués depuis la veille, tout ce que la vallée compte de mullets à boucles d'oreilles et de consanguins s'étaient donnés rendez-vous dans ce village isolé, sans eau ni électricité....mais avec de la bière et du Rock!
ETA n'a pas encore rendu les armes, pour preuve: 2 membres éminents de l'organisation clandestine s'étaient déguisés en vulgaires Gabachos (allant même jusqu'à porter les noms ridicules de "Gardon" et "Francis") afin de préparer, en toute discrétion, une attaque suicide au méchoui sauce Napalm et bombardement au gaz sarin haricots blancs. Nous avons eu droit à un festival de chairs calcinées, de petits corps démembrés, de flaques de xipister jonchant partout le sol... Un spectale de toute beauté. Les membres de l'organisation terroriste disparurent avant l'arrivée des premiers secours pour laisser place à de la musique festive... basque. Les crocs-maïs, venus en voisins, s'illustrèrent en dansant le pogo, une danse nuptiale propre à cette misérable peuplade du nord de la Bidassoa.
La joyeuse boucherie pris fin au petit matin quand la brume se dissipa, laissant apparaitre, ça et là, des cadavres de bières et d'hommes inertes abandonnés aux vautours.
Hasta la victoria siempre !
Les première images des caméras de surveillance nous montrent des images apocalyptiques:
(toutes ressemblances avec les évenements de Nice ou Manchester est totalement fortuite et indépendante de notre bonne volonté)
Les lieux où fut perpétré ce crime sans nom
L'armement des lâches terroristes
La diversion:
Body count:
Commentaires2
Magique.
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